Baccarat, l’histoire et avec ses superstitions

Le baccarat est le jeu de prédilection de nombreux Asiatiques. A Macao, le plus grand centre de jeux d’argent au monde, a encaissé 48 milliards de dollars de revenus grace au jeu en 2017. Comme Macao se prépare à ajouter de nouvelles stations sous le parrainage de Wynn, MGM, et d’autres grandes sociétés de jeux de hasard (en dehors de Macao aussi), les bénéfices du baccarat sont sûrs de monter en flèche dans ce pays et l’arrivée de casinos en ligne devrait ne faire qu’augment la tendance : http://casino-noir.net/

 

En Amérique, Las Vegas dépend régulièrement des revenus du baccarat provenant des riches visiteurs asiatiques pour augmenter leurs profits chaque année. En 2016, l’État du Nevada a encaissé plus d’un milliard de dollars de recettes grace au jeu, dont une grande partie provient de riches visiteurs asiatiques. Avec ce jeu de cartes qui fait monter l’adrénaline, le baccarat est un passe-temps simple mais addictif qui comporte une histoire intéressante ainsi que plusieurs superstitions fascinantes.

 

L’histoire du baccarat
Le baccarat a migré de l’Europe vers l’Amérique du Nord dans les années 1950, mais il a connu une forte progression au cours des siècles précédents dans d’autres parties du monde. La question de savoir si le passe-temps est originaire d’Italie ou de France fait l’objet d’un débat ; personne ne sait avec certitude. L’ancienne version française du baccarat est connue sous le nom de “Chemin de fer”. Lorsque Tommy Renzoni, le “père” du baccarat américanisé, a apporté le jeu aux États-Unis, la version qu’il a introduite était probablement un hybride du Chemin de fer et d’autres variantes européennes, selon les historiens.

Renzoni est d’abord tombé amoureux du jeu à Cuba, où les joueurs l’appellent “Punto Banco” ou “Player Banker”. Après avoir observé Punto Banco dans les casinos de La Havane, Renzoni s’est rendu compte du profit énorme que l’activité pourrait potentiellement apporter aux États-Unis. Il a convaincu le propriétaire du Sands Casino de Las Vegas d’essayer d’ajouter une table de baccarat à son installation ; le jeu s’est rapidement répandu et sa popularité a augmenté à partir de là. Pendant plusieurs décennies, le baccarat a été considéré comme un jeu élitiste réservé aux joueurs de haut niveau dans les salles de casino VIP. Ce n’est que dans les années 1990, lorsque le baccarat électronique est devenu disponible en ligne, que le jeu a gagné l’intérêt et la faveur des gens de la classe moyenne.

 

Simple et amusant
Autrefois considéré comme une activité mystérieuse et intrigante comprise uniquement par les joueurs sophistiqués, le baccarat est maintenant considéré comme une option de jeu simple et amusante pour tous. Le processus est assez simple : un “joueur” est opposé à un “banquier”, un peu comme au blackjack (lisez les conseils pour les joueurs de blackjack sur l’article du casino noir). Chacun reçoit deux cartes. Le but du joueur et du banquier est d’acquérir une combinaison de cartes dont la somme se rapproche le plus possible de neuf, mais pas plus de neuf. Une troisième carte est parfois distribuée. D’autres joueurs font des paris sur la personne qui gagnera chaque main, le joueur ou le banquier.

Les dizaines et les cartes de visage ne comptent pas. Les as en valent un. Il est intéressant de noter que si deux cartes de chiffres totalisent plus de 10, le deuxième chiffre de ce chiffre devient la valeur de la main. Par exemple, une main avec deux sept fait 14, ce qui fait que la main vaut quatre.

Huit jeux de cartes sont couramment utilisés, bien que les joueurs puissent jouer avec aussi peu qu’un seul jeu. Les jetons sont misés soit sur la main du joueur, soit sur la main du banquier. En termes de résultat final, trois scénarios possibles existent : le joueur gagne, le croupier gagne, le joueur et le croupier sont à égalité.

 

Une version du jeu appelée “Big Table Baccarat” est typiquement réservée aux joueurs à enjeux élevés. Dans cette version, les joueurs se relaient pour distribuer les cartes. Cela se produit habituellement dans les zones VIP du casino sur Lucky 8 et peut sembler intimidant pour les clients de la classe moyenne qui n’en savent pas grand-chose. “Mini Baccarat” suit les mêmes règles, à l’exception du fait qu’il n’y a qu’un seul revendeur tout au long du processus ; cette version est généralement jouée sur le plancher principal du casino. Les joueurs de la classe moyenne sont plus susceptibles d’être attirés par le Mini Baccarat.

Des superstitions fascinantes :

L’écrasement, la flexion et le soufflage des cartes
Plusieurs superstitions asiatiques traditionnelles peuvent être observées en action à une table de baccarat typique de Macao. Parce que chaque joueur à la table veut que sa main soit assez basse, avec une somme totale ne dépassant pas neuf, certains vont stratégiquement “jeter un coup d’œil” à leurs cartes face cachée en les serrant entre leurs doigts et en pliant les bords. La flexion doit se faire de manière précise : le joueur doit d’abord replier le côté court de la carte, puis le côté le plus long. Sans voir le nombre sur la carte, le joueur essaie de déduire quelles valeurs les cartes contiennent sur la base de la configuration des coeurs, des carreaux, des piques ou des trèfles qu’il est capable de voir.

Si le coup d’oeil aux cartes révèle ce qui pourrait être un total supérieur à neuf, le joueur superstitieux soufflera alors sur ses cartes. Ceci est destiné à “souffler” la valeur des cartes jusqu’à un niveau gagnant. Évidemment, la valeur de la main est déjà déterminée et ne peut être modifiée par soufflage. La superstition demeure, cependant, et on peut voir des hommes et des femmes adultes souffler sur leurs cartes au baccarat.

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